Membres du Conseil & Confédération Internationale des Sorciers par Lun 24 Juin - 19:32
Voici les membres prédéfinis du Conseil des Sorciers. Le Conseil des Sorciers – ancêtre du Ministère de la Magie – est constitué de dix sièges, en plus de celui, très honorable, du Chef du Conseil.
Libre Né en 1627 Gryffondor Chef du Conseil des Sorciers Réside à Loutry-Sainte-Chaspoule [Lien Avatar] Bartholomew a tout d'un grand homme, plein de sagesse. C'est un humaniste, toujours prêt à prendre la défense des minorités. Au sein du Conseil des Sorciers, il se bat pour l'égalité, la tolérance et la justice. C'est un homme droit, qui a en horreur les propos tenus par certains sorciers radicaux souhaitant une guerre contre les moldus. Il rejette l'idée émergente qui veut que seuls les sorciers issus de familles sorcières puissent étudier la magie et intégrer la communauté sorcière et argue que cela ne fera que desservir, voir affaiblir, le monde magique. Ce rejet le dessert auprès des radicaux, mais il se bat pour faire valoir l'idée que toute personne douée de capacités magiques mérite la même attention et le même enseignement. Pour l'instant, Bartholomew Prewett est encore très apprécié par la communauté sorcière. Néanmoins, cette popularité tend à s'affaiblir alors que les moldus versent du sang sorcier... D'autant que ses détracteurs le qualifient de chef de seconde zone, manipulé par les sorciers plus puissants qui siègent au Conseil. Bartholomew refuse pour autant de baisser la tête face à ces déclarations, et continue son combat, même s'il se sent dans une position délicate et instable. |
Libre Né en 1633 Poufsouffle Membre du Conseil des Sorciers, Siège de la Justice Magique & Président-Sorcier au Magenmagot. Réside à Kenmare [Lien Avatar] William est un irlandais né d'un père sorcier et d'une mère moldue, très fier de ses origines. C'est un sorcier doué, un excellent bretteur et un passionné d'astronomie, qui possède de grandes connaissances historiques et sociales du monde dont sa mère est issue et qui s'est passionné, au même degré, pour les coutumes sorcières. Grâce à cet important bagage intellectuel, Sire Bradston a su s'élever jusqu'à l'une des plus hautes sphères du monde politique sorcier : le Conseil. Il y possède le siège de la Justice Magique, et assume, dans un même temps, le rôle de président-sorcier du Magenmagot. S'il a atteint un tel niveau d'importance dans la communauté magique, ce n'est cependant pas seulement grâce à son savoir. William est un homme charismatique, un philanthrope, qui a la réputation d'être loyal autant à ses proches qu'à ses convictions. Sous sa présidence, la Justice n'a jamais été aussi bien rendue, et les cas troubles de condamnation (ou, au contraire, de relaxation) n'ont jamais été aussi rares. Son impartialité demeure exemplaire même face aux cas les plus durs, ou engendrant le plus de pression au sein du vase-clos qu'est le Magenmagot. Il est absolument contre une rupture avec les moldus, estimant qu'il s'agirait du pire choix à faire puisqu'il signifierait, selon lui, la victoire des branches pourries ayant corrompues les vieilles familles sorcières. Ces mêmes branches qui se réclament maintenant un droit du sang, droit autant déplacé que leurs à priori sur les moldus. Selon lui, se cacher des moldus et cesser toute communication avec eux reviendrait à condamner la société sorcière à une baisse de démographie importante et, surtout, un appauvrissement magique et intellectuel. La pression augmente au sein du Magenmagot. Pour l'instant, Sire Bradston maintient le cap malgré l'influence grandissante des radicaux, rôdé aux exercices diplomatiques et politiques après vingt-six ans de bons et loyaux services au Magenmagot, et dix ans en tant que Président-Sorcier. Par les temps qui courent, son départ ou sa chute seraient certainement les pires choses qui puissent arriver au Magenmagot, qui perdrait, sans son influence, en éthique et en impartialité... |
Libre Né en 1628 Gryffondor Membre du Conseil des Sorciers, siège de la Défense contre les forces du Mal. Réside à Godric’s Hollow. [Lien Avatar] Chez les Longbottom, on occupe le siège de la Défense contre les forces du Mal au Conseil des Sorciers de père en fils et Benedict n'a pas failli à la règle. Après vingt ans d'une carrière d'Auror exemplaire, il a succédé à son père, Lawrence Longbottom, peu après que la quarantaine soit passée. Cela fait désormais quinze ans qu'il occupe ce poste et compte bien y rester encore quelques temps. En effet, les troubles qui agitent la société britannique depuis quelques années incitent de plus en plus des personnages bien louches à sortir de la pénombre, et il est de son devoir de s'assurer que la société sorcière reste protégée contre toute attaque, interne comme externe. Il est ainsi hors de question pour lui de laisser à son successeur une situation ingérable. Dans le meilleur des cas, tout se sera arrangé d'ici sa retraite, mais Benedict n'est pas dupe et encore moins naïf, il sait que cela s'avérera difficile. En attendant, rien ne l'empêche de faire au mieux, en s'assurant par exemple que les extrémistes des deux bords ne dépassent pas certaines bornes. Sur le plan des opinions personnelles, il considère que son poste demande une certaine neutralité. Par conséquent, il fait partie des "Tolérants" comme certains journalistes se plaisent à nommer cette frange de la population qui n'a rien contre les moldus tant que ceux-ci ne s'en prennent pas directement aux sorciers. Après tout, pour Benedict, en tant que héraut de la loi, la meilleure façon d'éviter les conflits est encore d'éviter les affrontements. De son point de vue donc, moins sorciers et moldus se croisent, mieux leurs deux sociétés se portent. |
Joué Né en 1635 Serpentard Porte-Parole d'Irlande Réside au Manoir Bower, près de Leitrim dans le Connaught, Irlande. [Lien Avatar] Devin Bower est un homme influent dans le monde sorcier, bien que ses épousailles avec une sorcière née de parents moldus lui attirent le mépris des familles radicales. Cet état de fait, d'ailleurs, a la fâcheuse tendance à lui faire grincer des dents. Jusqu'alors, le fait de compter un moldu ou un né moldu dans les familles sorcières était bien admise, mais la mouvance des dernières années fait de Devin Bower un traître à son sang. On aurait pu oublier la bienveillance de Devin à l'égard des moldus, ainsi que cette souillure sur l'arbre généalogique, si seulement il ne s'acharnait pas à défendre le bien fondé de garder des liens avec l'aristocratie moldue. Devin est un homme intelligent, et il savait que ce mariage avec Bronach Catherwood — en plus d'attiser la colère de ses parents — lui conférerait des avantages. Comme celui, par exemple, de devenir Lord et de s'enrichir davantage grâce aux terres léguées en dot par la famille Catherwood. C'est un homme ambitieux, désireux de laisser sa marque dans l'Histoire, mais aussi dans les esprits de ses condisciples sorciers. En vérité, il se fiche de l'avenir des moldus. Il se plaît à provoquer par sa « traîtrise » et ne manque pas une occasion de se moquer des Gaunt, qu'il considère comme une bande « d'attardés consanguins ». En société, Devin se donne des airs d'homme respectable, d'Ambassadeur responsable et puissant. Il réussit avec brio à faire croire que les dépréciations et jugements dont il est victime l'indiffèrent. S'il ne veut pas voir une guerre éclater entre les sorciers et les moldus, c'est principalement dans le but de ne pas perdre la face contre les radicaux. Fasciné par la magie noire, il en a appris les rudiments à son héritier, Aïlin, afin que celui-ci ne se trouve pas démuni face au bellicisme de leurs adversaires. Au Manoir, Devin est un homme strict et dominateur. S'il éprouve une forme de fierté pour son fils, il ne l'avouera jamais, pas même à lui-même. Le mépris, les réprimandes et une éducation stricte, sont, à son sens, la meilleure façon de faire d'un fils un homme et il pense, malgré tout, ne pas avoir totalement échoué... bien que le comportement d'Aïlin ait une forte tendance à éveiller ses foudres. Le manque de soutien de son fils l'exaspère, et il voudrait le voir se ranger à son parti plutôt que de jouer le modéré cynique, trop intelligent pour trancher irrévocablement. Il ne porte que peu d'attention à sa fille, dont il se soucie moins de l'éducation. Il laisse le soin à son fils d'en faire une sorcière capable d'appréhender la société, car il voit en son héritier un talent tout particulier pour la maîtriser. Il veut, néanmoins, le meilleur parti pour elle, dans le dessein de ne pas voir sa dot disparaître entre des mains indignes, et d'associer son nom à celui d'une autre grande famille de sorciers talentueux. La réputation des Bower est précieuse, et il souhaite faire honneur à ses ancêtres les plus illustres. Il s'est bien accordé de la présence de son épouse, Bronach, qui est un modèle, selon lui, pour toute femme de bonne famille, par son tempérament dévoué et soumis aux hommes de sa famille. |
Libre 13/03/1572 Serdaigle Doyen, Manitou Suprême de la Confédération Internationale des Sorciers Le Domaine Peverell à Godric’s hollow [Lien Avatar] Reginald Peverell n'est nul autre que l'un – si ce n'est le – mage le plus talentueux de son temps. C'est un homme intègre, assez marginal. On ne le trouve jamais sur les sentiers battus. En revanche, jamais Peverell ne s'écarterait de ses idéaux ou de ses principes. Son sens de l'honneur est particulièrement fort, et il préfèrerait mourir que de céder à la pression sociale qu'exercent les partisans de la théorie du Sang-Pur. Occlumens avéré, il est encore, malgré son grand âge, un adversaire redoutable tant sur le plan psychologique que magique. La rumeur veut qu'il n'ait jamais perdu un seul duel, de toute sa vie. Pour sa part, il aime répondre qu'il a failli, une fois, à cause d'une envie pressante. Heureusement, il a pu venir rapidement à bout de son adversaire ! Peverell a un caractère fort et autoritaire. Il ne ménage ni ses amis, ni ses ennemis. Tout le monde est sur un pied d'égalité avec lui, à condition de faire preuve de rigueur dans ses principes et ses actes. Plus que respecté, Reginald Peverell est soit craint, soit admiré par la communauté. Ses ennemis se méfient de ses mots et de ses actions comme de la dragoncelle. Ses apparitions dans la société magique sont rares, mais lorsqu'elles ont lieu, c'est toujours un moment dont se souviennent les convives, fascinés par le profond charisme du vieux mage. |
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