Famille Peverell par Mar 2 Juil - 17:28
Potentia est in sapientia
Reginald Peverell.
Doyen de la famille,
Manitou Suprême de la Confédération Internationale des Sorciers.
Henry Peverell.
Patriarche, Professeur ès Alchimie.
Cecilia Peverell.
Héritière, Botaniste.
Dernière édition par Magnum Opus le Sam 18 Avr - 10:10, édité 2 fois
Re: Famille Peverell par Jeu 30 Jan - 3:21
13/03/1572
Serdaigle
Doyen, Manitou Suprême de la Confédération Internationale des Sorciers
Le Domaine Peverell à Godric’s hollow
Reginald Peverell n'est nul autre que l'un – si ce n'est le – mage le plus talentueux de son temps. C'est un homme intègre, assez marginal. On ne le trouve jamais sur les sentiers battus. En revanche, jamais Peverell ne s'écarterait de ses idéaux ou de ses principes. Son sens de l'honneur est particulièrement fort, et il préfèrerait mourir que de céder à la pression sociale qu'exercent les partisans de la théorie du Sang-Pur. Occlumens avéré, il est encore, malgré son grand âge, un adversaire redoutable tant sur le plan psychologique que magique. La rumeur veut qu'il n'ait jamais perdu un seul duel, de toute sa vie. Pour sa part, il aime répondre qu'il a failli, une fois, à cause d'une envie pressante. Heureusement, il a pu venir rapidement à bout de son adversaire ! Peverell a un caractère fort et autoritaire. Il ne ménage ni ses amis, ni ses ennemis. Tout le monde est sur un pied d'égalité avec lui, à condition de faire preuve de rigueur dans ses principes et ses actes.
Plus que respecté, Reginald Peverell est soit craint, soit admiré par la communauté. Ses ennemis se méfient de ses mots et de ses actions comme de la dragoncelle. Ses apparitions dans la société magique sont rares, mais lorsqu'elles ont lieu, c'est toujours un moment dont se souviennent les convives, fascinés par le profond charisme du vieux mage.
Dernière édition par Magnum Opus le Sam 18 Avr - 10:50, édité 1 fois
Re: Famille Peverell par Jeu 30 Jan - 3:22
07/09/1633
Gryffondor
Patriarche, Professeur ès Alchimie à Ste-Mangouste
Domaine Peverell à Godric’s Hollow
Henry Peverell est le neveu de Reginald Peverell, et le fils d'Ernestus, aujourd'hui décédé dans des circonstances troubles.
Si Henry vit dans la demeure de Reginald, il ne parlera jamais de son oncle flamboyant, de même qu'il restera aussi secret à propos de son père et des circonstances de son décès. Des rumeurs courent à ce sujet, et certains chuchotent à demi-mots qu'un duel violent aurait eus lieu entre les deux frères, dont Ernestus ne se serait pas remis. Ernestus aurait rejoint les Gaunt après le décès de sa fille cadette, âgée de sept ans, qui a été battue à mort après un accident de magie devant des témoins moldus. C'est ainsi que l'on s'explique la bienveillance de Reginald à l'égard de son neveu, plus que la théorie de l'affection d'un vieil homme qui n'a jamais eu d'enfants.
Les deux hommes se fréquentent peu bien qu'ils cohabitent ensemble (Reginald étant souvent sur les routes), mais tous deux semblent entretenir de bons rapports, n'en déplaise aux mauvaises langues.
Alchimiste respecté, Henry est un homme populaire, bien que la grandeur de son oncle le place dans l'ombre de celui-ci plutôt que de le faire briller. Cela lui convient parfaitement, car il est d'un tempérament plutôt solitaire. Malgré l'aspect sombre de son passé, Henry Peverell reste un homme très dynamique, bon vivant et féru de bons mots. Il est intolérant face à l'intolérance, et est actif contre les familles telles que les Gaunt, qu'il abhorre. Une place au Conseil des Sorciers lui avait été proposée, mais il l'a refusé, prétextant qu'ils y aurait trop de sorciers corrompus autour de lui, et qu'il faisait, malheureusement, une allergie à cette espèce d'hommes.
Quand les deux hommes se retrouvent au domaine Peverell, le verbe va bon train et la boisson coule, dans une atmosphère chaleureuse, ponctuée par les rires de la petite famille.
Ce qui devait être un an de leçons d'alchimie se transforma en un véritable apprentissage, de maître à élève, qui dure depuis près de six ans maintenant. Autant dire qu'Henry n'a pas regretté son choix, et éprouve autant d'affection pour Aïlin que pour un fils. Cela dit, il ne voit pas d'un très bon œil l'amitié qui se forme entre Cecilia et lui, craignant que le jeune homme nourrisse des idées pas très chastes à l'égard de sa précieuse fille.
Dernière édition par Magnum Opus le Sam 18 Avr - 11:57, édité 3 fois
Re: Famille Peverell par Mar 29 Mar - 23:42
13/03/1667
Poufsouffle
Botaniste et héritière d'Henry Peverell
Le Domaine Peverell à Godric’s hollow
Cecilia porte le prénom de sa tante, en hommage à cette dernière. C'est la fille d'Henry Peverell, et il lui prête une affection à la limite de l'adoration. Elle sort rarement de la demeure familiale si elle n'est pas accompagnée de son père, ce qui ne manque pas d'être sujet à plaisanteries pour bien des familles sorcières. Les mauvaises langues aiment dire que le jeune homme qui osera prendre le cœur de la belle Cecilia perdra certainement la tête en retour.
Si elle était quelques mois plus tôt, aux yeux de la plupart, une femme-enfant qui ne parviendrait jamais à échapper à cette prison dorée, la donne a bien changé depuis les dernières aventures qui sont arrivées à la jeune femme.
Elle fut d'abord prise dans l'étau de la foule lors de la terrible Nuit de la Concorde et s'en sortit miraculeusement indemne quand bien même elle évita de peu les sorts du terrible mage noir qui lançait ses maléfices sur la foule. Puis, quelques mois plus tard, elle eut la malchance de se trouver une fois encore au mauvais endroit, au mauvais moment. L'inquisition attaqua le Chemin de Traverse, sur lequel elle se trouverait avec une sorcière lui faisant office de dame de compagnie. La jeune femme, comme une dizaine d'autres sorciers et sorcières, fut attrapée par les inquisiteurs et menés dans des geôles improvisés. Là, elle aurait dû attendre les flammes du bûcher, si son astuce et son audace ne lui avaient pas permis de se détacher et d'en faire de même avec les autres sorciers présents, leur permettant à tous d'échapper à un sort bien sordide.
Depuis, on commence à s'intéresser à celle que l'on prenait pour une jeune enfant timide, mais qui se révèle être la bien digne héritière du nom Peverell. Si son père ne la couve que davantage depuis ses évènements, au plus grand désespoir de la belle, les évènements ont donné plus d'aplomb à la sorcière, qui s'impose de plus en plus, décidée à prendre son avenir en main.
Elle ne souhaite pas rester passive, portée par les remous d'un monde en plein chamboulement.
Cecilia vit seule avec son père et, ponctuellement, son oncle. On raconte que sa mère était une vélane et qu'elle aurait envoûté Henry pendant des années, avant de s'enfuir avec un homme plus jeune, à l'autre bout du monde. Cela est totalement faux. Si Margaret était une femme d'une beauté époustouflante, elle n'en demeurait pas moins une sorcière pure souche. Chercheuse dans l'âme, elle accompagnait avec plaisir son mari lors de ses nombreux voyages initiatiques à l'étranger, et profitait des travaux d'Henry pour partir à l'aventure, afin de faire ses propres trouvailles. C'est au Mexique que Margaret rendit l'âme, après avoir déclenché par accident une malédiction maya que personne ne sut défaire. Depuis, Henry ne voyage plus, si ce n'est par l'esprit. Et sa fille, dernier vestige de l'épouse qu'il chérissait tant, est précieusement gardée auprès de lui, comme un bijou à la valeur inestimable.
Les deux jeunes gens devinrent très proche si rapidement qu'ils n'eurent guère le temps de s'en rendre compte. Il faut dire que lorsqu'eut lieu l'attaque de la Fête de la Concorde, Aïlin et Cecilia venaient tout juste d'achever une danse et se retrouvèrent plongés ensemble au cœur du chaos, les forçant à agir de pair et se protéger l'un et l'autre.
Mais, s'il y eut bien un évènement qui leur révéla à eux-mêmes combien ils tenaient à l'autre, ce fut la tentative d'assassinat particulièrement sauvage dont fut victime Aïlin Bower, à Sligo. Le jeune homme, attaqué par un puissant vampire, frôla la mort et passa même pour tel pendant plus de deux semaines. À son retour dans le monde des vivants, Aïlin accepta même de s'installer quelques temps chez son Maître, afin de demeurer proche de Cecilia et d'Henry 'qu'il considère davantage comme sa famille que son propre sang.
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