Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Sam 16 Juin - 14:56
Statut sanguin : Sang Pur qui n'a aucun attrait pour l'idéologie commune.
État civil : Célibataire qui renonce aux attaches, menant une vie trop dangereuse pour se lier à une belle jouvencelle.
Origines : Irlandais.
Propriétés et biens : Ses seuls biens sont ses armes et sa monture.
Baguette : Bois d'ébène, cœur de dragon, 27, 7 centimètres, souple.
Opinion sur la théorie du Sang-Pur : Cela ne l'intéresse guère, cela ne l'a jamais intéressé. Ce qui comptait vraiment pour lui était l'action, la chasse, la guerre. Il a été renié de sa famille quand ses parents ont compris qu'il n'était pas la personne, celle qui reprendrait les affaires familiales.
Opinion sur les moldus : Ils ignorent simplement tout de ce qui se passe réellement dans leur monde, mais au fond, peut-il vraiment leur en vouloir ?
Opinion sur une éventuelle guerre : La nature de l'homme est de faire la guerre, alors il n'y a rien de plus à dire.
Opinion politique globale : Le gouvernement est incapable de contrôler la situation, beaucoup de choses échappe à son contrôle et c'est pour ça qu'on fait appel à ses services.
Le quartier sorcier de Bergen était réputé pour être un endroit des plus tranquilles. Bien évidemment, le caractère souvent sulfureux des sorciers nordiques causait parfois quelques incidents. Pourtant, ces dernières années, l'ambiance se révélait très souvent glaciale. Tout particulièrement à la tombée de la nuit. Depuis cinq ans, de jeunes sorcières norvégiennes disparaissaient et ne réapparaissaient presque jamais. Et quand elles refaisaient surface, c'était bien souvent pour hanter leurs proches. Un homme était assis sur un toit enneigé, semblant attendre une personne en particulier, loin de la vie des passants. Son épais manteau rembourré le protégeait du froid. Des flocons se posaient en douceur sur son épaisse crinière de cheveux noirs, aussi sombre que les plumes d'un corbeau. Le chasseur patientait depuis deux longues heures. On pouvait voir à ses traits tirés et à son visage vieillit par les épreuves que, l'homme avait une vie rocambolesque. Il venait de finir le demi-jambon qu'il avait acheté à l'auberge, et attaquait sa pomme. Avoir le ventre plein était presque une nécessité pour ce qui allait suivre.
Justement, ils étaient là. Le renégat repéra celui qu'il cherchait. C'était, en aucun cas, compliqué. Il était pâle, maigre et ses yeux luisaient. Un répugnant regard de prédateur. Un regard qu'il adressait à une jolie demoiselle complètement apeurée, qu'il tenait par la taille. Soudain furieux, l'irlandais sortit sa baguette, celle-ci toujours glissée dans sa manche pour la dégainer plus rapidement, et descendit habilement du toit. Il dégaina également deux pieux qu'il destinait aux deux congénères du vampire, un dénommé Varg. Il fit léviter les pieux qui le suivaient, comme deux frelons mortels de bois et d'argent. Les quelques passants qui l'avaient remarqué, prirent alors soin de ne pas s'en mêler. Varg était un vampire extrêmement sadique. Quant à l'Irlandais, sa réputation n'était plus à faire. Il avait passé une grande partie de sa vie dans les pays du nord de l'Europe, apprenant le métier de Chasseur. Il avait failli mourir à de nombreuses reprises, et ses nombreuses cicatrices attestaient de la dureté de sa vie.
La guerre entre les vampires faisait rage depuis maintenant près de cinq ans. Et les sorciers comme les moldus étaient une éternelle source de repas pour eux. Sans compter que les ministères de la magie de tous les pays concernés ne disposaient pas de force armées suffisamment conséquentes pour vaincre les morts-vivants. Lui-même avait perdu un être cher, sa fiancée. Il était encore jeune, pensait encore pouvoir mêler les deux, amour et travail. Grossière erreur. Il paya le prix fort, mais sa haine fut plus forte, la contrôlant pour mettre à terre ceux qui se dressait sur son chemin, ceux qui le séparaient de Varg. Déterminé, il porta deux de ses doigts à sa bouche et siffla les vampires. Les acolytes de Varg n'eurent pas le temps d'esquiver les pieux qui se plantèrent en plein dans leurs cœurs froids, froids comme la pierre, des cœurs qui ne battaient plus depuis de nombreuses années. Paralysés, mais pas encore définitivement morts, les deux vampires se tortillaient au sol, en proie à une terrible douleur. Ils ne représentaient plus une menace pour la société et bientôt sa hache séparerait la tête des corps. Le vampire restant parut surpris, mais pas autant que prévu, comme s'il avait prédit que ce jour arriverait, le dernier jour de sa longue existence. Il poussa la sorcière qui était dans ses bras un instant plus tôt. Celle-ci alla s'écraser contre la façade d'une librairie. Le chasseur jeta un coup d’œil à la fille. Elle semblait blessée, mais en vie, ce qui était le principal. Maintenant, il avait carte blanche. Le vampire détailla l'homme qui le traquait, son sourire pervers indiquant qu'il le reconnaissait, malgré les affres du temps. Le vampire éclata soudainement de rire, et se mit en position, prêt à charger. Il s'élança à une telle vitesse que l'Irlandais n'eut pas le temps de réagir. Varg planta ses crocs dans le cou du sorcier. Le sang jaillit en un flot incroyable, mais se transforma soudain en huile, tandis que le faux chasseur disparaissait en de fines pellicules de poussière. Le vrai en revanche, lui, se trouvait à coté des hommes de Varg, et tendit sa baguette, entre les vampires. Un petit sort d'illusion banal mais terriblement efficace. Cela marchait quasiment à chaque fois. Pris par son propre orgueil.
Son ton fut sans appel, quand il prononça son incantation protectrice.
- Solare Luminis.
Pris dans cette intense lumière artificielle, les vampires essayèrent de s'en protéger, subissant les mêmes douleurs que s'ils avaient commis l'imprudence de sortir en plein jour, à savoir des douleurs qui les prenaient comme des migraines, et les incapacitants, mais seulement pour quelques secondes. Se délectant de leurs cris, le prédateur se tourna ensuite vers Varg, satisfait de la situation, se délectant de ce moment qu'il attendait depuis si longtemps. Le vampire, fou de rage, se retenait de sauter à nouveau sur lui. Il savourait ce genre de moment où l'apparente supériorité physique des suceurs de sang se retrouvait balayer par un peu de malice et de magie. Il pointa sa baguette sur Varg. Le brun fit un moulinet avec sa baguette. Le résultat ne se fit pas attendre et le vampire prit feu, instantanément. Jusqu'à ce qu'il soit forcé de tomber au sol, et là, il lui porterait le coup de grâce, sortant sa hache pour détruire une bonne fois pour toute la créature.
Il laissa le mort tomber à terre, sa tête roulant sur le sol enneigé, l'intégralité de son corps se consumant, brûlé par le chasseur. C'était un spectacle qu'Arès appréciait. Il fallait cependant reconnaître que le combat de ce soir avait été plus ennuyant et décevant, qu'il n'aurait imaginé, aucun imprévu n'était venu contrecarrer son plan. L'objectif était maintenant de sortir de Bergen, avant que d'autres créatures de l'ombre ne le trouvent. Le chasseur, d'une certaine manière, attendait l'arrivée du jour, la seule possibilité pour lui de dormir un peu.
Toute la nuit, le sorcier galopa à travers la campagne et les fjords de Norvège, en permanence sur le qui-vive. Bergen et le paysage fabuleux qui entourait cette ville furent rapidement très loin derrière lui, mais en se retournant de temps à autre, il parvenait encore à apercevoir les fumées des cheminées de la ville. Les montagnes au nord, pourtant relativement éloignées semblaient surplomber le monde entier. Il y avait quelques heures, il avait reçu une missive de très grande importance qui le rappelait en Irlande, sa terre natale, une terre qu'il avait quitté il y a très longtemps en paria. Et maintenant on avait besoin de ses services. Ironie du sort pour le renégat, celui qui avait été renié de sa famille, une famille dont les idéaux ne le touchaient pas. La seule chose qu'il touchait, c'était sa cible et la prime qui allait de mise.
Plus il avançait, plus il se rendait compte qu'il était trempé jusqu'au cou dans une guerre secrète, une guerre à si petite échelle que les moldus ne s'en rendaient absolument pas compte. Les villages et hameaux dans lesquels il passait étaient paisibles et l'ambiance y paraissait chaleureuse, du moins de jour. Pas de maisons incendiées ou d'amoncellement de cadavres à déplorer. Ce qui était normal au fond, le gros du conflit se tenait dans les Balkans, et notamment en Transylvanie où les humains sorciers comme moldus, faisait face à une véritable hécatombe. Les autres vampires étaient établis partout en Europe, et même sur le nouveau continent, mais pour autant, ils ne cherchaient pas à établir leur domination sur les humains, car ils savaient que leur nombre restreint les mènerait droit à leur perte.
Le jour se leva peu à peu et le régulateur s'estima fort heureux de ne pas avoir croisé de créatures, jusque-là. Il avait fait les dernières heures de route, suivi d'une compagnie de Nains, grossiers et ivres pour la plupart, mais avec un sacré humour et une culture plutôt conséquente et intéressante. Les petits bonshommes le saluèrent alors que le soleil se levait, préférant l'obscurité d'un petit-bois non peuplé pour se reposer et reprendre la route dès la nuit suivante.
Il trouva une petite auberge et s'y posa pour la journée. La tenancière était plutôt amicale et physiquement très intéressante, si bien qu'il lui proposa de venir le rejoindre dans sa chambre quand elle aurait un peu de temps pour elle. Il s'attendait à se prendre une gifle, qui dans le fond serait pleinement méritée, mais la jolie blonde lui fit un clin d’œil. L'homme eut un sourire franc quand elle lui embrassa la joue, d'un bécot fort appuyé. Elle s'appelait Hilda, et elle vint le rejoindre quand sa sœur la remplaça en cours d'après-midi. Elle ouvrit doucement la porte et s’immisça dans les draps de l'irlandais, qui se réveilla en grommelant, avant de grogner de nouveau, mais cette fois de satisfaction en sentant les formes de la jeune moldue contre lui. Après l'effort venait la récompense, se dit-il. Il avait réellement besoin d'un peu d'amour. Même s'il n'avait pas le droit de s'attacher à elle. Il prendrait un bateau pour l'Irlande dans les jours à venir, il avait entendu parler d'une nouvelle cible potentielle, ou plutôt de cibles. Des cibles de poids même. Arès et Hilda firent l'amour plusieurs fois, jusque tard dans l'après-midi. Et le chasseur décida de dormir encore quelques heures avant de reprendre la route. L'attentionnée mais farouche norvégienne, lui susurra à l'oreille, quelques mots doux qu'il ne comprit pas et le quitta après un dernier baiser amoureux. Voilà qui posait problème, la moldue ne comprenait visiblement pas qu'il n'avait aucune intention de rester. Mais elle ne pouvait savoir que la solitude était le seul moyen pour lui de rester en vie. Pour elle aussi par ailleurs.
N'ayant pourtant nullement l'intention de se rendormir, il replongea malgré tout dans un sommeil profond.
Il ouvrit les yeux dans une pièce que jamais il ne pensa revoir de sa vie. Sa chambre était telle qu'il s'en souvenait. Sur son bureau s'empilait les lettres qu'il destinait à ses amis de Durmstrang. Son armoire était ouverte sur de magnifique robes de fourrure qui venaient des plus grands couturiers sorciers. Sentant le coup fourré arriver, il se leva tout de même et se rendit dans le salon, un étage plus bas. Le manoir semblait vide de toute présence humaine, mais le chasseur entendait le feu de la cheminée crépiter dans l'âtre. Un coup d’œil dans la pièce lui suffit pour voir qu'il n'était pas seul.
Il se réveilla en sursaut. Le souvenir de son songe était flou mais il savait qu'il devait plier bagage au plus vite. La dernière soirée qu'il avait passé au manoir, lui revenait cependant en tête, tandis qu'il réunissait ses affaires. Cela avait été la dernière soirée, celle où il fut exilé, mis dehors comme un paria. Il n'avait pas longtemps erré, il avait ses contacts, savait où aller et ce que serait sa vie. Une vie de solitude et d'errance.
Il s'était remis en route, tard dans la nuit et à ses risques et périls. Mais son instinct lui disait qu'il était en danger même de jour. Vigilance constante oblige. Hilda comprenait, il lui avait brièvement raconté son histoire en mentant sur moult détails, mais la jolie jouvencelle le comprenait. C'était le principal. Il ressentit un certain remords à la laisser ainsi mais il n'avait rien à lui offrir. Il n'y avait pas de place pour une vie normale pour l'homme qu'il était.
Il s'arrêta quelque heures plus tard, fit un feu, en ayant au préalable rassembler le bois qu'il avait trouvé, et dépeça le cerf qu'il avait traqué en cours de route. Le jour n'allait pas tarder à se lever mais il avait froid. Le bois rendu humide par la neige ne prenait pas. Il renonça au feu, préférant se réchauffer avec un sortilège acclimatant qui créa un dôme de chaleur autour de lui, faisant fondre la neige. Les morceaux de viande furent prêts en deux coups de baguette. Les sortilèges dits de survie, étaient une compétence indispensable quand on vivait le plus souvent dans de grandes étendues sauvages au climat glacé. Il entendit soudain une branche craquer, l'arrachant à la dégustation de son repas.
Une demie-douzaine de vampires l'encerclaient, sûrs de gagner face à un seul sorcier. Ils n'avaient même pas tenté de l'attaquer par surprise, ces chiens. Il y avait aussi d'autre personnes, au nombre de huit ; des humains visiblement. Le chasseur était devenu la proie. Le vampire qui semblait diriger confessa qu'en pistant le chasseur, la horde s'en était prise à la jeune aubergiste. Et le monstre éclata de rire alors que le chasseur sentait la colère l'envahir. Il n'aurait pas dû s'arrêter dans ce patelin misérable. Il détailla ses adversaires, sans paraître trop surpris parce ce qu'il voyait.
Les calices étaient des êtres humains, qui se plaçaient d'eux-même sous l'allégeance des vampires. Mais il risquait d'avoir plus de difficultés, malgré ce qu'il avait affirmé. Il avait déjà fait face à beaucoup de vampires en même temps mais les calices lui posaient problème. Certains semblaient moldus vu les fusils qu'il avaient en mains et il y avait minimum deux sorciers. Le Régulateur se prépara alors à déchaîner les enfers sur eux, il fit apparaître une petite flamme de sa baguette. Celle-ci resta en l'air, alors que la flamme augmentait de volume à une vitesse impressionnante. Ils allaient tous souffrir. Le chasseur était un sorcier pyromancien et ainsi le Némésis de ces créatures démoniaques...
Le résultat était plutôt satisfaisant, les vampires étaient morts, carbonisés et les calices avaient prit la fuite comme les lâches qu'ils étaient quand le premier des leurs était tombé. Il venait d'achever le dernier vampire quand l'adrénaline redescendit, et que la douleur fit flancher ses genoux. Le surnombre, ça ne faisait jamais du bien. Un sortilège ou une balle lui avait entaillé le flanc gravement, sans oublier la belle fracture à son poignet et une femme à l'allure de Banshee au teint gris lui avait embrassé l'épaule droite, à coups de crocs. Il parvint à se relever, titubant dangereusement jusqu'à son cheval, parvenant à prendre ce dont il avait besoin pour se soigner, et quelques heures plus tard, son corps était presque entièrement recouvert de bandage.
Dans les ténèbres, un homme encapuchonné dans un grande cape noire avançait tranquillement sur le chemin boueux. Du moins, quand les sabots de sa monture ne s'enlisaient pas dans la terrible mélasse qui composait le sol de ce chemin. Mais il avançait inexorablement, comme si l'averse terrible et l'orage ne le décourageait pas. Le seul signe distinctif que pouvaient voir les hommes postés plus loin, étaient une barbe sombre, ne semblant pas avoir été taillée depuis plusieurs jours.
Les falaises autour de lui étaient sinistres, escarpées et mortellement pointues, tel une couronne d'épine qui annihilait toute possibilité de s'échapper autrement que par le chemin de terre. De toute manière, toute tentative d'évasion d'Azkaban était vouée à l'échec d'office. Car pour cela il fallait déjà parvenir à atteindre la terre ferme, en nageant à travers des eaux terrifiantes et glacées qui ne laissaient pratiquement aucune chance de survie. Quant à la terrible Azkaban, elle était visible à des kilomètres à la ronde, perchée de façon menaçante sur un immense rocher. Même depuis la petite crique où les futurs condamnés prenaient les bateaux qui les emmenaient droit en enfer, un enfer glacial et obscur.
L'homme continua sa route, ne se plaisant pas à la contemplation de cet enfer sur terre. Si bien que son chemin le conduisit jusqu'à son Irlande natale, et ce après des jours et des nuits de galop. Au loin, la silhouette imposante d'une immense bâtisse perçait l'horizon alors qu'un éclair vint s'abattre non loin de son cheval qui se cambra. L'homme tint bon avant que le ciel ne se calme, poursuivant sa route vers cet endroit qu'il ne pensait jamais revoir...
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Dernière édition par Arès D. Bower le Ven 3 Aoû - 13:52, édité 7 fois
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Dim 17 Juin - 11:54
Trop badass, le cousin ! Jusque là, j'aime beaucoup ta fiche ! En revanche, je te suggères avant que tu me fasse signe pour la validation de lire ce topic sur les vampires car, par exemple, ils ne craignent pas à ce point la lumière du soleil.
Hâte de pouvoir RP avec toi ! Bon courage pour la suite de la rédaction !
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Dim 17 Juin - 12:32
Il vaut mieux l'être pour affronter ces sangsues
Oui, après pour le sortilège c'est un sortilège puissant, ce n'est pas les rayons du soleil puisque ça se passe la nuit mais en gros c'est DEUS VULT mais en païen ^^
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Mar 10 Juil - 23:00
Désolée pour le temps, je n'ai pas eu le petit chat signalant le nouveau message, hormis en changeant de compte, je viens seulement de voir que tu avais fini.
J'ai beaucoup aimé la lecture de ta fiche ! C'est bien écrit, intéressant et prenant !
En revanche, je vais quand même te demander deux trois ajustements. Rien de très long, mais ce sont des détails importants tout de même.
Finn a écrit:Pris dans cette intense lumière artificielle, les vampires se mirent à partir en poussière, subissant les mêmes douleurs que s'ils avait commis l'imprudence de sortir en plein jour.
Les vampires peuvent sortir en plein jour. Cependant, la lumière du soleil les affaiblit, leur flanque la migraine (quand on est habitué au noir, c'est un peu violent, toute cette lumière ) au pire, mais surtout annule la plupart de leurs pouvoirs. C'est la raison pour laquelle les vampires sont généralement chassés de jour. Même s'ils risquent de se réveiller et de répliquer, ils ne peuvent pas régénérer leurs blessures comme en pleine nuit ou user de certaines capacités, ce qui les rend beaucoup plus vulnérables.
Les exposer à la lumière ne les rend pas impotents quoi qu'il arrive et un Deus Vult pourrait fonctionner de la part de quelqu'un qui a la vraie foi, à la limite, mais en magie, je ne vois pas comment il pourrait y avoir un équivalent. Cependant, un sort ayant les effets de la lumière du soleil peut exister et avoir été conçu par des régulateurs de vampires, pour les incapaciter temporairement. Mais pas au-delà de quelques secondes, je dirais.
Autre détail à propos des vampires, leur cœur bat et leur organisme fonctionne (plus ou moins) :
Annexe Vampire a écrit:Quant à son cœur, il bat bel et bien, mais s'il n'est pas arraché, il pourra se régénérer comme n'importe quel autre organe blessé. Cela est seulement extrêmement douloureux. Pour tuer un vampire, il faut donc lui arracher le cœur, le décapiter ou le détruire entièrement.
Voir l'annexe
Finn a écrit:Il était préférable pour toutes les mystiques créatures humanoïdes de voyager de nuit, depuis l'instauration du secret magique.
Le Secret Magique n'a pas encore été instauré. C'est la raison pour laquelle les sorciers et créatures magiques ont tellement de complications avec les moldus. C'est tout le cœur de l'intrigue de MO. Comment gérer les relations avec des hommes qui rejettent voire exècrent la magie ?
Pour le reste, c'est tout bon ! Signale-moi à la suite quand tu auras fait les modifications. Je pinaille pour le sort, mais je ne voudrais pas que d'autres joueurs soient induits en erreur, ou même qu'on fasse apparaître un sort beaucoup trop violent contre une espèce qui est véritablement jouée et réputée très difficile à battre, de nuit en tout cas.
Il me tarde de pouvoir RP avec toi !
Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Mar 10 Juil - 23:06
Je modifie ça, j'espère que les futurs arrangements induiront moins en erreur.
Du coup, dis-moi en mp pour ce dont on a parlé
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Messages : 17Date d'inscription : 16/06/2018
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Mar 10 Juil - 23:10
- Héritier rebelle
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Ven 13 Juil - 17:02
J'ai rendu le sortilège protecteur et non mortel en suivant l'idée qu'il affaiblit les vampires pour quelques secondes, lui laissant le temps de dégainer sa hache et de rayer un trait sur la tâche à effectuer ou de cocher la case "A faire" ^^
- Le Trèfle et la Pinte
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Re: Arès D. Bower ~ Let's The Hunt Begin... par Ven 3 Aoû - 14:22
Bienvenue officiellement sur Magnum Opus !
Tu peux désormais poser tes valises sur ces bonnes vieilles terres d'Irlande, qui t'attendent les bras ouverts !
Quelques petites démarches à faire, rien de bien méchant :
- Recense la célébrité que tu utilises pour ton personnage sur le bottin des avatars
- Demande ton rang en cliquant sur le lien suivant
- Facultatif, mais bien utile : tu peux ouvrir un topic de demande de RP ou proposer un RP directement aux autres joueurs sur leur topic respectif dans le forum Propositions RP
J'espère que tu te plairas parmi-nous !
N'hésite pas à revenir vers moi sur le compte Aïlin Bower si tu as la moindre demande supplémentaire ou question ! Et n'hésite pas à passer faire coucou sur la chatbox de temps à autres, c'est le meilleur endroit pour concevoir des plans
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